Ici, nous vous dirons quelle est la différence entre l’agriculture indienne et américaine, ainsi que leurs méthodes de culture et leurs caractéristiques.

L’Inde est essentiellement un pays agricole puisque près de 80% de sa population vit dans les zones rurales. Le nombre total d’agriculteurs en Inde est d’environ 120 millions de personnes. Aux États-Unis, en revanche, seul un petit nombre de personnes sont impliquées dans l’agriculture. Le nombre total d’agriculteurs aux États-Unis est de 2,3 millions de personnes.

En Inde, les fermes sont transmises de génération en génération. Dans chaque génération, la superficie totale des terres est divisée entre les membres de la famille. Par conséquent, chaque membre de la famille possède environ 2,3 hectares. En revanche, les fermes américaines sont grandes, environ 250 hectares.

 

La plupart des agriculteurs indiens ont simplement exercé les professions de leurs parents. La plupart des gens ne reçoivent l’éducation de base qu’à l’école du village, mais ils abandonnent l’école avant de la terminer. Par conséquent, l’agriculteur indien moyen n’a aucune éducation de base et est probablement un décrocheur. Ce n’est pas le cas des agriculteurs américains, qui se spécialisent principalement dans certains domaines de l’agriculture à l’université. Évidemment, cela les aide à se tenir au courant des derniers développements dans le domaine de l’agriculture et des terres agricoles.

Méthode de culture

En Inde, l’agriculture nécessite beaucoup de travail physique car la plupart des agriculteurs utilisent des méthodes traditionnelles, par exemple ils utilisent des bœufs pour labourer la terre. En revanche, aux États-Unis, la majorité sont des investisseurs qui apportent le capital pour l’achat de machines lourdes et avancées, de sorte que leur nombre de travailleurs est très faible. L’agriculture en Inde dépend fortement des conditions météorologiques, par conséquent, ils ne produisent que deux ou trois cultures par an, ce qui se limite aux pommes de terre ou au riz. En revanche, les fermes américaines sont capables de produire plusieurs cultures en un an, comme le soja, la betterave, en plus du blé, etc.
Le principal avantage des agriculteurs américains réside dans les découvertes scientifiques ainsi que dans leurs installations technologiques qui les aident à optimiser leurs niveaux de production. Par exemple, ils peuvent effectuer des analyses de sol en laboratoire pour connaître le niveau de fertilité des terres agricoles et le bon type de culture pour la rentabiliser. De tels tests leur permettent de prendre des mesures pour restaurer la fertilité des sols. En Inde, les agriculteurs n’ont accès à aucun type de technologie, ils ne savent donc pas optimiser leurs cultures et dépendent beaucoup de la nature, car tout changement dans la quantité de précipitations peut avoir des conséquences désastreuses pour leur agriculture. Aux États-Unis, des systèmes d’irrigation avancés sont utilisés, qui permettent la production tout au long de l’année, car la plupart appartiennent à des sociétés et sont supervisés par du personnel spécialisé. En revanche, en Inde, la plupart des terres appartiennent à des familles pauvres héritées de leurs proches.
Aux États-Unis, les terres agricoles sont plus petites, mais plus productives, ont une rentabilité et un rendement à l’hectare plus élevés que les exportations de l’Inde. Par exemple, le riz est de 7,8 tonnes pour 3 en provenance de l’Inde; pour le maïs, il est de 8,6 à 1,8 tonnes en provenance de l’Inde, pour n’en nommer que quelques-uns. De même, aux États-Unis, le rendement du lait de vache est trois fois supérieur à celui de l’Inde.